Phillips curve se traduit par courbe de Phillips, du nom de son théoricien anglais.

D'après cette théorie, l'inflation et le chômage sont imbriqués dans une relation stable et inversée. Plus le niveau de chômage est bas, plus les salaires augmentent. Donc les entreprises sont amenées à augmenter leurs prix de vente, alimentant l'inflation. Plus le chômage augmente, plus les salaires baissent, provoquant aussi une baisse du taux d'inflation.

Par la suite, Milton Friedman estima que la courbe de Phillips ne s'appliquait qu'à court terme, et qu'un fort taux de chômage pouvait coexister avec un fort taux d'inflation, ce qui se révéla exact.  

 

 

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